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 [Mots imposés] Zigzag, le chien mutant

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Roxy
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Roxy


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MessageSujet: [Mots imposés] Zigzag, le chien mutant   [Mots imposés] Zigzag, le chien mutant EmptySam 9 Aoû - 13:45

Felicia Cotroni a écrit:
Je vous propose une histoire à composer avec des mots imposés. Cela va comme suit:

- La première personne propose 3 mots.
- La personne qui décide d'y répondre construit une phrase ou deux avec ces mots, ceux-ci placés dans le même ordre dans le texte. Elle propose ensuite 3 autres mots.
- La personne qui suit construit une phrase avec ces mots, etc.

Évidemment, cette histoire doit avoir un sens logique, donc bonne chance!! Il va falloir faire travailler notre imagination! Prière de ne pas faire de trop longues phrases. Dans la mesure du possible, tenter de faire le moins de phrases possibles. Ce sera notre défi tout en restant logiques!

Voici ce qui avait été composé sur l'autre forum, les mots qui devaient être ajoutés ont été mis en gras:


---

Il était une fois au pays des mutants, l'histoire d'un chien très bizarre nommé Zigzag. Ce pitou au pelage aussi doux que la soie avait des ailes aussi petites que les fées des contes pour enfants. Mais Zigzag était très malheureux, car tous les mutants de son quartier riaient de lui, car ses parents le surprotégeaient beaucoup trop. En effet, ils refusaient qu'il est joué à l' aréna avec ses copains, car ils avaient peur qu'il se casse une aile en glissant sur la glace. Ses parents bien intentionnés refusaient également que leur précieux petit garçon aille faire des bêtises le soir dans les ruelles et lui avait imposer un couvre-feu. Zigzig devait être entré à la maison pour 4:30 pm et n'avait pas le droit de sortir après cette heure.

Or, cette journée-là, la flèche de l'horloge du village affichait 5h00pm et Zigzag n'était pas rentré à la maison. Dans la forêt avoisinante, le chien avait rencontré un cheval qui se vantait d'être une licorne. Cependant, ce n'était pas vraiment le cas. Selon Zigzag, il était impossible qu'un animal aussi élégant qu'une licorne puisse dégager une odeur aussi infecte.

La licone explica donc au jeune chiot que l'odeur était du à la position des astres. En effet, à tous les trois mille ans losque les astres étaient dans cette position toute la communauté des licornes pourpre étaient touchée d'une maladie très spéciale. Leur pelage changaient de couleur pour devenir brun et il dégageait une odeur désagréable. Zigzag dit à la licorne qu'il en croyait pas un mot. Celle-ci se sauva donc du chien aillé pour aller bouder un peu plus loin.

Zigzag tourna donc les talons et voulut retrouver le chemin de la maison. Il commençait à se faire tard. Déjà dans le ciel, des étoiles scintillantes le parsemaient çi et là. Le regard du chien mutant fut toutefois figé par des lumières multicolores dans l'obscurité du ciel. Il en arrêta même sa marche. Il était tellement absorbé par ce phénomène étrange qu'il ne remarqua même pas la pierre qui lui fut lancée...

Toutefois, cette pierre ne l'atteignit pas directement, celle-ci ayant dévié de sa trajectoire par l'arbre entre lui et le lanceur. Zigzag regarda en la direction de l'origine du bruit, c'est-à-dire l'endroit où la pierre avait ricoché. En un éclair, il vit les branches bouger sans n'y apercevoir personne. Il eut peur et prit la fuite en la direction opposée. Il sortit rapidement de la forêt, puis rencontra sa soeur aînée, qui lui posait un regard au départ fâché, puis ensuite inquiet en voyant le visage de cadavre qu'avait son frère. À cette heure, le soleil était presque couché, ce qui donnait à son visage une impression encore plus obscure. Et les couleurs avaient disparu, ternies dans le crépuscule, tellement que sa fourrure amande en était rendue presque noire...

Lorsqu’elle ouvrit sa gueule pour demander à Zigzag ce qui c’était passé. Un vent glacé provenant de la forêt, lui apportant une horrible odeur qui l’obligea à la refermer. Elle frissonna et regarda son frère qui était maintenant paralyser par le froid et la peur. Une autre brise lui apporta une bribe d’une conversation :

-Qu’est-ce qui ta pris, misérable…

Nesly, la sœur aînée de Zigzag, était maintenant aux aguets. Elle voulait connaître la cause de la haine de cette voix.

-Il avait l’air…
-Sornette, je t’avais dit…
-Mais…
-Il n’a pas de mais tu devais…
-Tu sais quoi, Herb…
-Par jalousie, tu crois vraiment que je peux être jaloux de…

Nesly en avait assez attendu, cela devait être une dispute d’ami bien ordinaire. Elle fit signe à son frère de la suivre et prenna la direction de la maison. Elle dépassa l’horloge qui indiquait maintenant 21 : 34 et se retourna pour voir si son frère avait meilleur mine. C’est là qu’elle aperçu la silhouette d’un homme qui avait l’air de les suivre. Cependant, elle disparue presque qu’aussitôt dans une ruelle.

Elle reprit donc sa route et s’arrêta un peu plus loin sous un réverbère. En silence, ils entendirent que les autres membres de la famille arrivent. Quelques minutes passa avant que leurs parents et de leur petite sœur les rejoigne à ce point de rendez-vous. Ils s’enlacèrent sous le faisceau lumineux, content que cette histoire ce termine bien.

Cependant, cachée dans sa ruelle obscure, la silhouette les regardait en souriant. Elle songeait qu’avec leurs lampes de poche et leurs vestes voyantes, ils avaient l’air d’une troupe de cirque nomade qui accueillait un nouveau membre.

Il y avait bien pire que toute la peur que Zigzag avait eu en croyant voir un fantôme, un esprit errant ou quelconque autre spectre sorti tout droit des épouvantes. L'homme savait. Il avait si longtemps parcouru les montagnes qu'il savait pertinément que cet incident - celui qui était arrivé à Zigzag dans la forêt - n'était rien d'autre la preuve que ce chien devait sortir un peu plus souvent de chez lui et laisser ses parents de côté. Se rebeller, comme s'était souvent plu à dire l'homme à lui-même ou à ceux qui en avaient besoin.

On apprend tout lorsqu'on n'a pas l'argent pour vivre: fouiller dans les poubelles, mendier pour un peu d'argent ou de nourriture, même voler. Il avait failli se faire prendre à de nombreuses reprises lors de ses vols de sacs à main. Et toutefois, il avait toujours pu s'en sortir qu'en attrappant sur la tête quelques coups de balai.

L'homme, toujours tapi dans le coin de la ruelle, était bien décidé à vouloir apprendre à ce chien comment il fallait faire pour ne plus être sous l'emprise de ses parents...


Le lendemain matin, l’homme épiait la famille mutante par les carreaux de verre qui les séparait. Il se demandait qu’elle folie, il devrait inventer pour que ce chiot puisse se libérer de l’emprise de sa famille trop protectrice.

De l’autre côté de la fenêtre, tout avait l’air d’être revenu à la normal. La chienne adulte préparait les boîtes à goûté de des membres de son petit clan. Pendant ce temps, le père lisait le journal et dégustant un bon café équitable. Nesly lisait pour la millième fois l’étiquette sur la boîte de céréale et le bébé terminait son gobelet de lait. Zigzag, lui, fouillait dans le réfrigérateur pour en ressortir quelques secondes plus tard avec le pot de jus de fruit.

Cependant, la famille de Zigzag n’était pas de cet avis. Chacun essayait de se comporter normalement, mais tout monde se remémorait les événement de la veille. Tous était fiévreux d’inquiétude à l’idée que cela pourrait se reproduire.

Les parents de Zigzag se demandaient comment ce dernier avait pu se laisser aller de la sorte la veille. Aller se promener dans le bois à ces heures, c'était inacceptable! C'était comme si une écharde s'était incrustée dans l'esprit de leur fils.

Pourtant, la mère de Zigzag n'avait pas de temps pour le réprimander et le surveiller; elle avait beaucoup de couture à faire pour les festivités du week-end prochain. C'était le carnaval du village. C'est d'ailleurs en vaquant à cette activité qu'elle rata le départ de son fiston.

Ce n'était pas le cas de l'homme, l'inconnu qui voulait se mêler des histoires de famille de Zigzag. Ce dernier, bien installé contre un dossier d'une chaise berçante de l'auberge voisine, fût bien placé pour remarquer la sortie du chien mutant... et il en fût ravi.

Lorsque le quadrupède tourna le coin de la rue, l’homme décida de quitter son repère pour le filé. Il se leva donc tranquillement pour ne pas attirer l’attention et prit la même direction que Zigzag. L’homme habiller d’un short et d’un t-shirt mettait en évidence sa forte musculature. Les gens étaient impressionnés qu’un homme de cette stature puisse avoir autant de muscle. Le chinois n’en fit pas de cas, il était maintenant habitué à ce genre de réaction et poursuivi sa route d’un air distrait. Rendu à l’intersection l’homme attendis Nesly dire à Zigzag, a plus.

Et les jeunes, se dit-il, pourquoi se servent-ils d’autant d’abréviation. Pourquoi sont-ils si pressés.

Soudain, l'homme eût une idée de génie. En un éclair, il se retrouva à croiser le chemin du mutant et de s'approcher de l'endroit où on vendait de nombreux vins rosés de qualité. Il n'avait jamais vu un tel endroit, sachant très bien que les vins rosés n'étaient pas les plus répandus, mais il avait une idée en tête et ce vin pourrait peut-être lui apporter bonne fortune. En tentant d'ouvrir la porte, il remarqua cependant que le verrou était mis.

Dans la vitrine, il remarqua le reflet d'une ballerine et l'homme se tourna afin d'observer l'affiche sur laquelle elle était figée. Il comprit qu'il s'agissait d'une boutique où plusieurs activités sportives étaient offertes. Il se dépêcha à s'y engouffrer. Il devait faire vite, car Zigzag allait continuer sa route.

Quelques secondes plus tard, il sortit du magasin avec un kayak sur les épaules. Il feignit d'avoir des difficultés atroces à le traîner, ce qui fit lever les yeux du chien mutant vers lui. À ce moment, il échappa la rame, ce qui permit à l'homme d'accueillir Zigzag à ses côtés. Celui-ci l'aida.

Voyant cet homme partir à l'aventure, Zigzag ne put s'empêcher de l'envier. Même s'il était à l'extérieur de la maison et non enfermé à l'intérieur d'une armoire, il n'avait pas l'impression d'être libre de ses faits et gestes... Ce qu'il aurait donné gros pour pouvoir partir à l'aventure, cet après-midi!!

À quoi tu penses fiston dit l'homme à Zigzag. Celui bessa la tête un peu mal à laisse et fini par avouer à l'inconnu qu'il aimerait bien mieux partir vogué sur l'eau que d'aller s'enfermer à l'école.

L'homme sourit. Son plan se déroulait comme prévu. Il déposa le canot sur le bord de la rivière et l'attacha à un gros clou planter dans le sol. Puis il invita Zigzag a venir le rejoindre apres la classe. Ils iraient faire un petit tour ensemble. Le canin hésita, mais fini par accepter.

Pendant, tous le reste de la journée le mutant imaginait ce qu'il pourrait voir sur les rives de la rivière qui n'avait jamais approcher d'aussi près avant aujourd'hui. Un défilé d'image lui remplissait l'esprit et lui faissait même oublier les nattes rousses de sa voisine d'en face.

Pour la première fois de sa vie le son de la cloche qui indiquant la fin des cours paru mélodieu au oreille de Zigzag. C'est comme si la musique qu'elle émanait des auparleurs aurait été enregistrer par la meilleure orchestre du monde. Le mutant se précipita donc dans le corridor et courru à toute vitesse sur les dalles du damier rouge et blanc que formait le plancher de l'école. Une fois à l'extérieur, il ne porta pas une seconde attention au verre brisé qui couvrait le sol dans l'allé qui le menait à sa detination.

Heureusement pour lui, le verre ne lui avait pas abîmé les pattes. Zigzag courait jusqu'à son lieu de rencontre avec l'inconnu, puis le retrouva à l'endroit désigné, en train de mettre son manteau et refermer la fermeture-éclair. Le temps était plus frisquet qu'en début de journée, mais Zigzag avait l'avantage d'avoir un gros manteau de poils.

Il rejoignit l'inconnu, qui le fit entrer dans le kayak. Tous deux partirent ensemble sur les eaux de la rivière. L'inconnu parla de ses nombreuses aventures à Zigzag: il avait parcouru le continent à la recherche de la perle rare, il avait fait de l'escalade dans les plus dangereux monts, il cherchait de l'or dans des eaux de la grande vallée, etc. Zigzag était émerveillé et ne voyait plus le temps passer. Si bien qu'un moment donné, l'inconnu dut allumer une lampe pour les empêcher de sombrer dans la noirceur.

Ils reprirent donc le chemin du retour pendant que l'homme expliquait à son nouvel ami comment les joailliers traitaient les gens qui traillait pour eux dans les mines ou sur les bord des rivières. Lorsque l'embarcation toucha enfin le sol, l'homme demanda au jeune mutant affamer s'il voulait bien casser la croute avec lui. Le mutant accepta avec empressement! Pendant, que Zigzag dégustait son bol de nouilles l'homme lui racconta d'autre de ses aventures. Quand le chien croisa l'horloge du quartier les flèches indiquaient 9 heures moins quart.

Zigzag se dit qu'il devrait rentrer à la maison. Il savait que ses parents seraient hors-de-soi, mais il avait tellement aimé cette soirée qu'il n'avait aucune envie de retourner chez soi...

Pourtant, en passant devant le parc, il remarquai le pneu sur lequel il se balançait lorsqu'il était plus jeune, là même où son père le poussait et où ils riaient... C'est donc à ce moment-là qu'il se dit qu'il ne devait pas usé sa pensée comme une langue de vipère à l'égard de ses parents. Ils devaient avoir des raisons de le surprotéger de cette façon... ils devaient bien avoir une raison...

C'est donc que, sur le vestibule de la porte d'un autre endroit où voulait l'apporter l'inconnu, Zigzag prit la décision de retourner chez soi...

L'homme tenta de le retenir, mais cela était peine perdu... Zigzag était rendu au bout de la rue et n'entendait plus les cris de l'homme. Fou de rare, l'homme se dériga à grande enjamber vers une tarverne et commenda un verre de gin. Il senti l'alcool lui bruler le gosier, mais cela ne détourna pas son attention... Il devait faire comprendre à ce petit que la vie ne pouvait être vécu sans prendre le moindre risque...

***


Dernière édition par Roxy le Sam 9 Aoû - 14:03, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: [Mots imposés] Zigzag, le chien mutant   [Mots imposés] Zigzag, le chien mutant EmptySam 9 Aoû - 13:59

Zigzag croisa l'édifice de la Natalité... Il n'avait jamais compris pourquoi, il s'appellait comme ça, mais c'était pas le momant de le découvrir... Il arriva finalement devant la seule porte Kaki qui connaissait dans ce bas monde et s'arrêta quelques secondes pour reprendre son souffle. Lorsque sa mère l'ouvrit brutalement pour venir le rejoindre les yeux plein de reproche.

La mère de Zigzag commença à lui lancer plein de reproches, parlant du danger de la vie et de son état qui ne lui autorisait pas à courir dehors à des heures "pas possibles". Le chien mutant essaya en vain de la rassurer, de se défendre, mais ses tentatives échouèrent. Il avait l'impression d'être emprisonné dans un labyrinthe.

Finalement entrés dans la maison, Zigzag sentit son coeur se pincer lorsqu'il remarqua une poignée de mouchoirs détrempés sur la table. Tout à coup, il se sentait sal, coupable, hideux. Il n'avait pas pensé à sa mère, à sa famille... il avait agi inconséquemment.

Perturbé, Zig zag alla s'enfermé dans sa chambre. Il se laissa tomber sur son lit et s'endormi presque qu'aussitôt. À cause de la fatigue que cette journée lui avait procurée.

Il rêva à des trucs complètement loufoques. Un homme de l'espèce humaine lui apprenait qu'il était sont vrai père. Un notariat lui déclarait son amour et sa grand-mère avait les amygdales tellement enfler qu'on les voyait distintement.

Après cette nuit agitée, Zigzag eut de la difficulté à s'extirper de son lit le lendemain matin. Il avait les jambes en compote et faillit tomber en se rendant à la cuisine. En se prenant un verre dans l'armoire, il entendit son père dans le salon qui récitait des versets. Il ne le voyait pas, mais sa chemise pour le travail traînait sur la chaise de la cuisine, ce qui révélait qu'il n'allait pas tarder à partir...

Un maigre sourir d'espoir se dessina sur ses lèves. Il allait échappé au sermont paternel des situations dessespérées. Cela le rassura un peu, mais malheureusemnt pour lui cela ne dura pas longtemps. Zig zag avait encore le bichet de lait à la main quand son père fit son apparition dans la cuisine. Aucun mot ne sortie de la bouche des deux mâles, mais leur yeux se croissèrent quelques secondes. Suffisament longtemps, pour que chacun puisse y lire les regrets de l'autre et la peine que cela leur occassionnait. Les yeux du fils se posa sur le dos du père et c'est à cet instant qu'il remarqua la maigreur des épaule de son aîné. Pour la première fois de sa vie Zig zag voyait son père comme une personne ébranlable, triste et accècible. Au moment, au il allait ouvrir la bouche pour attamé la conversation, la cloche de la porte retentie. Sa soeur se précipita sur la porte pour ouvrir. C'était Steve le nymphomane le plus apprécier des dames de l'école.

Zigzag se sentir temporairement sauver par l'apparition du nymphomane. Il savait que la discussion avec son père n'était que retardée. Cela lui procurait un goût amer dans la gueule, tel un poison lui engourdissant tranquillement les sens.

Sa soeur courut vers Steve, puis ils sortirent de la maison illico. Zigzag haussa les sourcils lorsqu'il remarqua un ouvre-boîte dans la poche arrière des jeans de sa soeurette. Pourtant, ce n'est pas cela qui attira son attention, mais plutôt les amis de Steve qui les attendaient à l'extérieur: l'un d'eux avait les cheveux verts flamboyants. Zigzag trouvait que ça lui donnait l'impression d'avoir un tas de verdure sur la tête... Cette idée lui mit maladroitement un sourire sur les lèvres, ce que son père ne manqua pas de remarquer!

Son père toujours muet comme une carpe, regarda sa fille partir par un carreau de la cuisine en se disant que son fils était très chanceux. Il était comme les astronautes perdu au milieu de nul part avec une perception du monde complètement différente. Cette pensé fut vite interompu par la douleur aigu provenant de son tibia qui venait d'amortir la chute de la chaise sur laquel il avait déposer sa chemise.

Il ne broncha donc pas plus qui ne le falait et enfilla sa chemise. Il remit la chaise en position avant de se diriger vers la porte, mais avant qui est atteint le seuil de la porte, il fût frapper part une illumination subite. Il ouvra la bouche et dit à son fils de s'habiller qu'aujourd'hui, ils partiraient ensemble.

Zigzag fut surpris de l'invitation de son père, mais il ne se posa pas très longtemps la question de ce qui l'avait poussé à la faire. Il enfila rapidement un blouson, puis sortit à l'extérieur rejoindre son père qui l'attendait près des arbres à l'entrée de la cour. Une mésange passa tout juste au-dessus de sa tête lorsqu'il fut rendu à la hauteur de son père, ce qui le fit se pencher. La suivant du regard, il remarqua qu'elle avait un truc couleur olive à l'intérieur du bec, mais ne sut distinguer ce que c'était.

Lorsque son père s'avança de nouveau vers la route, le chien mutant se demanda bien pourquoi son père voulait qu'il l'accompagne. Toujours il avait refusé de l'amener avec lui, lui rappelant sans cesse que les volcans, c'était dangeureux...

Du haut de son arbre, l'homme qui était aussi bien cacher qu'un elfe arché dans les histoires pour enfant, regardait les deux quadrupèdes sortir de la maison et s'engager sur le troitoir. Cette vision était loin de le satisfaire. Il aurait préféré pourvoir coincer le jeune cabot seul dans une ruelle le mennant à l'école. Lorsque les chiens furent asser loin, il prit sa longue vue et regarda par le plus petit hublot pour pouvoir lire le nom de la rue sur laquel ils tournèrent. Il ajusta donc sa longue vue et fixa quelques secondes l'affiche qui indicait le "boulvard de la Royauté".

L'homme descendit tellement rapidement de son arbre qu'il en tomba. Sa figure faillit prendre de plein fouet des branches du lilas qui se trouvait tout près de sa cachette. Bien que cet événement n'arriva pas, l'homme ne fût pas sortir de ses malheurs: ses jambes s'étaient coincées entre un embranchement de l'arbre. Il était pris au piège. Tout ce qu'il voyait désormais était la boîte aux lettres et l'entrée de la cours du voisin des chiens mutants...


Juin
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Felicia Cotroni
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MessageSujet: Re: [Mots imposés] Zigzag, le chien mutant   [Mots imposés] Zigzag, le chien mutant EmptySam 18 Oct - 21:26

C'était juin, il pouvait se compter chanceux! Il ne ferait pas trop chaud, pas trop froid. Enfin, bien que sa cachette était bien située, elle l'était beaucoup moins maintenant qu'il était descendu de l'arbre. Il ferait bien le gage qu'on le découvre avant la fin de la journée... À ce moment, il faudra qu'il trouve une bonne excuse pour pouvoir triompher sans perturber son plan!

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Muzelda
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MessageSujet: Re: [Mots imposés] Zigzag, le chien mutant   [Mots imposés] Zigzag, le chien mutant EmptyVen 27 Mar - 13:24

Cela prit quelques seconde en peine avant qu'un être le découvre. Un jeune mutant avait trébucher sur une pierre et avait laisser tomber les livres qui tenait dans ses bras. Le mélange d'ouvrage était assé déconcertant. Il avait là par terre <a quelques centimètre de l'homme des livres traitant de recette de cuisine et d'autres acticles de lois fiscals. Quand le mutant huard le vit, il eu un tel choc qui tomba sur son postétieur.

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