[À coups de 3 mots] Sans titre

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Jadis, dans le Wisconsin, il y avait un énorme maréchal ferrant qui se demandait s'il pouvait aller chercher son lot. Fier homme, il était. Pourtant, il n'avait rien de très exceptionnel. Ayant bu, ce gros tout rond se rendit difficilement dans la chambre pour prendre son veston et sa chemise à carreaux. Au moment de franchir la porte, quelqu'un entra. Les deux individus se regardèrent, ébahis.

- William, que fais-tu ici? demanda l'homme à l'énorme ventre.

- Bien, j'étais inquiet, dit l'homme qui n'avait pas bu. Julie m'a pointé la direction.

- La direction? s'écria l’enivré. Quelle direction?

William regarda dans le miroir son reflet. Ses jeans étaient perçés. Il se rendit compte que du sang coulait sur sa chaussure. Il regarda de plus près et vit que ça sentait mauvais.

- Quelle est cette odeur?

- Je n'en ai aucune idée, répondit William. Est-il possible qu'elle provienne de cette blessure infectée?

- Insinues-tu que Julie t'a confondu pour un lièvre?

- Quoi? T'as le culot de me traiter de lièvre!

- Non, du tout.

William se retourna pour prendre le veston de Guy et le lui lança.

- Habille-toi, on s'en va. N'oublie pas de verrouiller la porte et de saluer Julie en retournant au bar.

- Mais que fais-tu? Je ne veux pas partir.

- Est-ce que tu es idiot? En restant ici, nous allons tous sentir la merde. En plus les pigeons voyageurs du Nord arrivent!

- Et que fais-tu de Martin? Il etait supposé aller nous rejoindre au garage de ma soeur.

-On n'a qu'a s'y rendre.

-Mais comment? regarde on n'a plus assez d'essence.

- On a encore le vieux chevrelet dans le garage. Amène-le!

Au même moment, une voiture s'arrêta au coin de la rue. Une femme posa le pied hors de l'engin et s'avança vers les deux hommes. Elle leva le menton en l'air et désigna Guy.

-Qu'

Jadis, dans le Wisconsin, il y avait un énorme maréchal ferrant qui se demandait s'il pouvait aller chercher son lot. Fier homme, il était. Pourtant, il n'avait rien de très exceptionnel. Ayant bu, ce gros tout rond se rendit difficilement dans la chambre pour prendre son veston et sa chemise à carreaux. Au moment de franchir la porte, quelqu'un entra. Les deux individus se regardèrent, ébahis.

- William, que fais-tu ici? demanda l'homme à l'énorme ventre.

- Bien, j'étais inquiet, dit l'homme qui n'avait pas bu. Julie m'a pointé la direction.

- La direction? s'écria l’enivré. Quelle direction?

William regarda dans le miroir son reflet. Ses jeans étaient perçés. Il se rendit compte que du sang coulait sur sa chaussure. Il regarda de plus près et vit que ça sentait mauvais.

- Quelle est cette odeur?

- Je n'en ai aucune idée, répondit William. Est-il possible qu'elle provienne de cette blessure infectée?

- Insinues-tu que Julie t'a confondu pour un lièvre?

- Quoi? T'as le culot de me traiter de lièvre!

- Non, du tout.

William se retourna pour prendre le veston de Guy et le lui lança.

- Habille-toi, on s'en va. N'oublie pas de verrouiller la porte et de saluer Julie en retournant au bar.

- Mais que fais-tu? Je ne veux pas partir.

- Est-ce que tu es idiot? En restant ici, nous allons tous sentir la merde. En plus les pigeons voyageurs du Nord arrivent!

- Et que fais-tu de Martin? Il etait supposé aller nous rejoindre au garage de ma soeur.

-On n'a qu'a s'y rendre.

-Mais comment? regarde on n'a plus assez d'essence.

- On a encore le vieux chevrelet dans le garage. Amène-le!

Au même moment, une voiture s'arrêta au coin de la rue. Une femme posa le pied hors de l'engin et s'avança vers les deux hommes. Elle leva le menton en l'air et désigna Guy.

-Qu'est-ce que

Jadis, dans le Wisconsin, il y avait un énorme maréchal ferrant qui se demandait s'il pouvait aller chercher son lot. Fier homme, il était. Pourtant, il n'avait rien de très exceptionnel. Ayant bu, ce gros tout rond se rendit difficilement dans la chambre pour prendre son veston et sa chemise à carreaux. Au moment de franchir la porte, quelqu'un entra. Les deux individus se regardèrent, ébahis.

- William, que fais-tu ici? demanda l'homme à l'énorme ventre.

- Bien, j'étais inquiet, dit l'homme qui n'avait pas bu. Julie m'a pointé la direction.

- La direction? s'écria l’enivré. Quelle direction?

William regarda dans le miroir son reflet. Ses jeans étaient perçés. Il se rendit compte que du sang coulait sur sa chaussure. Il regarda de plus près et vit que ça sentait mauvais.

- Quelle est cette odeur?

- Je n'en ai aucune idée, répondit William. Est-il possible qu'elle provienne de cette blessure infectée?

- Insinues-tu que Julie t'a confondu pour un lièvre?

- Quoi? T'as le culot de me traiter de lièvre!

- Non, du tout.

William se retourna pour prendre le veston de Guy et le lui lança.

- Habille-toi, on s'en va. N'oublie pas de verrouiller la porte et de saluer Julie en retournant au bar.

- Mais que fais-tu? Je ne veux pas partir.

- Est-ce que tu es idiot? En restant ici, nous allons tous sentir la merde. En plus les pigeons voyageurs du Nord arrivent!

- Et que fais-tu de Martin? Il etait supposé aller nous rejoindre au garage de ma soeur.

-On n'a qu'a s'y rendre.

-Mais comment? regarde on n'a plus assez d'essence.

- On a encore le vieux chevrelet dans le garage. Amène-le!

Au même moment, une voiture s'arrêta au coin de la rue. Une femme posa le pied hors de l'engin et s'avança vers les deux hommes. Elle leva le menton en l'air et désigna Guy.

-Qu'est-ce que tu fais, pauvre

Jadis, dans le Wisconsin, il y avait un énorme maréchal ferrant qui se demandait s'il pouvait aller chercher son lot. Fier homme, il était. Pourtant, il n'avait rien de très exceptionnel. Ayant bu, ce gros tout rond se rendit difficilement dans la chambre pour prendre son veston et sa chemise à carreaux. Au moment de franchir la porte, quelqu'un entra. Les deux individus se regardèrent, ébahis.

- William, que fais-tu ici? demanda l'homme à l'énorme ventre.

- Bien, j'étais inquiet, dit l'homme qui n'avait pas bu. Julie m'a pointé la direction.

- La direction? s'écria l’enivré. Quelle direction?

William regarda dans le miroir son reflet. Ses jeans étaient perçés. Il se rendit compte que du sang coulait sur sa chaussure. Il regarda de plus près et vit que ça sentait mauvais.

- Quelle est cette odeur?

- Je n'en ai aucune idée, répondit William. Est-il possible qu'elle provienne de cette blessure infectée?

- Insinues-tu que Julie t'a confondu pour un lièvre?

- Quoi? T'as le culot de me traiter de lièvre!

- Non, du tout.

William se retourna pour prendre le veston de Guy et le lui lança.

- Habille-toi, on s'en va. N'oublie pas de verrouiller la porte et de saluer Julie en retournant au bar.

- Mais que fais-tu? Je ne veux pas partir.

- Est-ce que tu es idiot? En restant ici, nous allons tous sentir la merde. En plus les pigeons voyageurs du Nord arrivent!

- Et que fais-tu de Martin? Il etait supposé aller nous rejoindre au garage de ma soeur.

-On n'a qu'a s'y rendre.

-Mais comment? regarde on n'a plus assez d'essence.

- On a encore le vieux chevrelet dans le garage. Amène-le!

Au même moment, une voiture s'arrêta au coin de la rue. Une femme posa le pied hors de l'engin et s'avança vers les deux hommes. Elle leva le menton en l'air et désigna Guy.

-Qu'est-ce que tu fais, pauvre ivrogne?

-Bien ça

Jadis, dans le Wisconsin, il y avait un énorme maréchal ferrant qui se demandait s'il pouvait aller chercher son lot. Fier homme, il était. Pourtant, il n'avait rien de très exceptionnel. Ayant bu, ce gros tout rond se rendit difficilement dans la chambre pour prendre son veston et sa chemise à carreaux. Au moment de franchir la porte, quelqu'un entra. Les deux individus se regardèrent, ébahis.

- William, que fais-tu ici? demanda l'homme à l'énorme ventre.

- Bien, j'étais inquiet, dit l'homme qui n'avait pas bu. Julie m'a pointé la direction.

- La direction? s'écria l’enivré. Quelle direction?

William regarda dans le miroir son reflet. Ses jeans étaient perçés. Il se rendit compte que du sang coulait sur sa chaussure. Il regarda de plus près et vit que ça sentait mauvais.

- Quelle est cette odeur?

- Je n'en ai aucune idée, répondit William. Est-il possible qu'elle provienne de cette blessure infectée?

- Insinues-tu que Julie t'a confondu pour un lièvre?

- Quoi? T'as le culot de me traiter de lièvre!

- Non, du tout.

William se retourna pour prendre le veston de Guy et le lui lança.

- Habille-toi, on s'en va. N'oublie pas de verrouiller la porte et de saluer Julie en retournant au bar.

- Mais que fais-tu? Je ne veux pas partir.

- Est-ce que tu es idiot? En restant ici, nous allons tous sentir la merde. En plus les pigeons voyageurs du Nord arrivent!

- Et que fais-tu de Martin? Il etait supposé aller nous rejoindre au garage de ma soeur.

-On n'a qu'a s'y rendre.

-Mais comment? regarde on n'a plus assez d'essence.

- On a encore le vieux chevrelet dans le garage. Amène-le!

Au même moment, une voiture s'arrêta au coin de la rue. Une femme posa le pied hors de l'engin et s'avança vers les deux hommes. Elle leva le menton en l'air et désigna Guy.

-Qu'est-ce que tu fais, pauvre ivrogne?

-Bien ça se voit, non?

Jadis, dans le Wisconsin, il y avait un énorme maréchal ferrant qui se demandait s'il pouvait aller chercher son lot. Fier homme, il était. Pourtant, il n'avait rien de très exceptionnel. Ayant bu, ce gros tout rond se rendit difficilement dans la chambre pour prendre son veston et sa chemise à carreaux. Au moment de franchir la porte, quelqu'un entra. Les deux individus se regardèrent, ébahis.

- William, que fais-tu ici? demanda l'homme à l'énorme ventre.

- Bien, j'étais inquiet, dit l'homme qui n'avait pas bu. Julie m'a pointé la direction.

- La direction? s'écria l’enivré. Quelle direction?

William regarda dans le miroir son reflet. Ses jeans étaient perçés. Il se rendit compte que du sang coulait sur sa chaussure. Il regarda de plus près et vit que ça sentait mauvais.

- Quelle est cette odeur?

- Je n'en ai aucune idée, répondit William. Est-il possible qu'elle provienne de cette blessure infectée?

- Insinues-tu que Julie t'a confondu pour un lièvre?

- Quoi? T'as le culot de me traiter de lièvre!

- Non, du tout.

William se retourna pour prendre le veston de Guy et le lui lança.

- Habille-toi, on s'en va. N'oublie pas de verrouiller la porte et de saluer Julie en retournant au bar.

- Mais que fais-tu? Je ne veux pas partir.

- Est-ce que tu es idiot? En restant ici, nous allons tous sentir la merde. En plus les pigeons voyageurs du Nord arrivent!

- Et que fais-tu de Martin? Il etait supposé aller nous rejoindre au garage de ma soeur.

-On n'a qu'a s'y rendre.

-Mais comment? regarde on n'a plus assez d'essence.

- On a encore le vieux chevrelet dans le garage. Amène-le!

Au même moment, une voiture s'arrêta au coin de la rue. Une femme posa le pied hors de l'engin et s'avança vers les deux hommes. Elle leva le menton en l'air et désigna Guy.

-Qu'est-ce que tu fais, pauvre ivrogne?

-Bien ça se voit, non? Je marche vers

Jadis, dans le Wisconsin, il y avait un énorme maréchal ferrant qui se demandait s'il pouvait aller chercher son lot. Fier homme, il était. Pourtant, il n'avait rien de très exceptionnel. Ayant bu, ce gros tout rond se rendit difficilement dans la chambre pour prendre son veston et sa chemise à carreaux. Au moment de franchir la porte, quelqu'un entra. Les deux individus se regardèrent, ébahis.

- William, que fais-tu ici? demanda l'homme à l'énorme ventre.

- Bien, j'étais inquiet, dit l'homme qui n'avait pas bu. Julie m'a pointé la direction.

- La direction? s'écria l’enivré. Quelle direction?

William regarda dans le miroir son reflet. Ses jeans étaient perçés. Il se rendit compte que du sang coulait sur sa chaussure. Il regarda de plus près et vit que ça sentait mauvais.

- Quelle est cette odeur?

- Je n'en ai aucune idée, répondit William. Est-il possible qu'elle provienne de cette blessure infectée?

- Insinues-tu que Julie t'a confondu pour un lièvre?

- Quoi? T'as le culot de me traiter de lièvre!

- Non, du tout.

William se retourna pour prendre le veston de Guy et le lui lança.

- Habille-toi, on s'en va. N'oublie pas de verrouiller la porte et de saluer Julie en retournant au bar.

- Mais que fais-tu? Je ne veux pas partir.

- Est-ce que tu es idiot? En restant ici, nous allons tous sentir la merde. En plus les pigeons voyageurs du Nord arrivent!

- Et que fais-tu de Martin? Il etait supposé aller nous rejoindre au garage de ma soeur.

-On n'a qu'a s'y rendre.

-Mais comment? regarde on n'a plus assez d'essence.

- On a encore le vieux chevrelet dans le garage. Amène-le!

Au même moment, une voiture s'arrêta au coin de la rue. Une femme posa le pied hors de l'engin et s'avança vers les deux hommes. Elle leva le menton en l'air et désigna Guy.

-Qu'est-ce que tu fais, pauvre ivrogne?

-Bien ça se voit, non? Je marche vers le garage. Tu

Jadis, dans le Wisconsin, il y avait un énorme maréchal ferrant qui se demandait s'il pouvait aller chercher son lot. Fier homme, il était. Pourtant, il n'avait rien de très exceptionnel. Ayant bu, ce gros tout rond se rendit difficilement dans la chambre pour prendre son veston et sa chemise à carreaux. Au moment de franchir la porte, quelqu'un entra. Les deux individus se regardèrent, ébahis.

- William, que fais-tu ici? demanda l'homme à l'énorme ventre.

- Bien, j'étais inquiet, dit l'homme qui n'avait pas bu. Julie m'a pointé la direction.

- La direction? s'écria l’enivré. Quelle direction?

William regarda dans le miroir son reflet. Ses jeans étaient perçés. Il se rendit compte que du sang coulait sur sa chaussure. Il regarda de plus près et vit que ça sentait mauvais.

- Quelle est cette odeur?

- Je n'en ai aucune idée, répondit William. Est-il possible qu'elle provienne de cette blessure infectée?

- Insinues-tu que Julie t'a confondu pour un lièvre?

- Quoi? T'as le culot de me traiter de lièvre!

- Non, du tout.

William se retourna pour prendre le veston de Guy et le lui lança.

- Habille-toi, on s'en va. N'oublie pas de verrouiller la porte et de saluer Julie en retournant au bar.

- Mais que fais-tu? Je ne veux pas partir.

- Est-ce que tu es idiot? En restant ici, nous allons tous sentir la merde. En plus les pigeons voyageurs du Nord arrivent!

- Et que fais-tu de Martin? Il etait supposé aller nous rejoindre au garage de ma soeur.

-On n'a qu'a s'y rendre.

-Mais comment? regarde on n'a plus assez d'essence.

- On a encore le vieux chevrelet dans le garage. Amène-le!

Au même moment, une voiture s'arrêta au coin de la rue. Une femme posa le pied hors de l'engin et s'avança vers les deux hommes. Elle leva le menton en l'air et désigna Guy.

-Qu'est-ce que tu fais, pauvre ivrogne?

-Bien ça se voit, non? Je marche vers le garage. Tu vois bien.
-Ouais