Bon, je me sers d'image du cinéma, mais ça parle pas vraiment de cinéma... si c'est pas assez clair on aura juste à pas le mettre dans la liste pour les votes. C'est un peu le bordel aussi faudrait que je corrige les fautes et ajuste certaine phrase, mais tant pis.
77
Je suis né de l'incubateur 11940, mon père s'appelais FJ49875. Il m'a jamais porté intérêt à mon existant, sauf quand j'empruntais les chemins qui n'ont pas été créé en fonction de notre famille. Je suis FJ49877, surnommé 77 ou sale emmerde pour les adultes qui ne comprenne pas la génération actuelle. Personnellement, je m'intéresse au chose du passé de notre société.
Puis un jour dans une livre, j'ai vu la plus belle image qu'un homme ne pouvait pas voir dans son existence. Un de ses vieux livres numérique que l'on doit traîner physiquement. Quelques choses d'assez lourd. Un métal un peu argenté semi-brosé. Mon ami XL89644 m'a dit que je commencé à devenir vieux avec tout ces vieilleries qui m'entourait. Pourtant cette image que je ne pouvais pas touché de ma conscience. Cette image sans odeur, sans émotion. Cette image c'était la chose la plus merveilleuse à mes yeux. Un être vivant fait à l'image des incubateurs devant un immense bâtiment de pierre où plein d'être volant partait au vent.
J'ai continué ma recherche ensuite. Je voulais savoir qu'elle était se bâtiment. Qu'elle était ces êtres volants. Qui était cet incubateur qui avait autant de liberté. Au début c'était pénible. Je trouvais peu d'information. Je cherchais ici et là. Un peu partout. Puis, je finis par trouver d'autre incubateur devant d'autre bâtiment. Il y avait d'autre être volant, puis d'autre être différent de ceux qui volent. Plein de choses que je n'aurais jamais imaginé.
75, mon père, s'inquiéta fortement de cette lubie. Voyant d'immense tas de choses inconnu s'accumuler dans ma mémoire. Il fit venir le psychanalyste PI. PI m'interrogea longuement. L'air grave à chaque mot que je laissais échapper de mes neurones surchauffé d'excitation, il me dit d'un ton un peu trop sérieux pour expliquer qu'envérité tout ceci n'était que de vieux romans imaginaires écrit par des gens un peu dérangé. Une mode dans la littérature de l'époque. Que toute ces merveilles décrient et imagé n'était que baliverne. Un grand film monté de toute pièce. Puis PI repartit pensant avoir déçu mon âme de jeune homme de 1860 ans.
Je me mis à être plus discret dans mes lectures. Je cachais mes échanges cervicales à qui essayait d'établir un contact. Les gens se détachaient de moi lentement. Je deviens très solitaire. 75 passa son temps à me critiquer. Je devais occupé son poste plus tard. Un poste où on se devait d'être faussement honnête dans nos contacts, mais en posséder le plus possible. Un politicaillerie. Une grande farce, un immense cirque. Un faux films où les acteurs n'étaient que des icônes médiatique et les spectateurs des pions. Je décida donc de me retirer dans un lieu de retraite et continuer mes recherches.
PI vient dire une grave vérité à mon père. Il parlait de m'interner. Il disait que j'étais fou. Que je devrais me déconnecter du réseaux. Je devais un gène pour eux. J'en savais trop sur un sujet qu'on disait faux. Beaucoup ne voyait comme un menace à l'information réel. Je divulguais trop l'information suspect sans m'en douter à ma génération et des gens commençaient à s'intéresser à se qui n'était que des rêves pour moi. Des salons de discussion se sont ouvert. Les 1000-2000 ans en parlait trop. Les psychanalyste voulait étouffé ces échanges et j'étais la principale source.
Je disparu du réseau. Non que j'ai été mis en quarantaine, mais je me suis effacé. J'ai séparé mes connaissances de l'ensemble. Une chose qui n'était permise jusque là qu'au psychanalyste. Je faisais de faible apparition ici et là. Lancement des données un peu partout pendant mes recherches. Des images que je recréait avec des sensations s'accumulaient un peu partout.
Puis, je fis un rêve. Une de ces incubateurs libres devant un grand arbre. Elle me souriait. Elle riait. Elle dansait. Belle dans toute cette lumière de soleil. Elle m'appelait.
Je gardais se rêve précieusement, mais partageait de plus en plus d'information avec des gens du réseaux sur des sujets controversés. Puis, les psychanalystes me repéra. Ils vient me chercher. Ils m'apportèrent au centre U-9103. Puis, je la vis, comme une image angélique. Englué dans le liquide amniotique. L'incubateur 238, la fille de mon rêve. Puis, je me promis que communiquer avec elle à tout prix.
Discrètement, sous le couvert d'une fausse identité, je réussit à me reconnecter au réseau. J'y lâchais tout l'information que j'avais recousu sur le passé durant les dernières années. Puis, la moitié du réseau si connecta. Les mentalités commencèrent à se modifier. Les psychanalyste perdirent le contrôle de la population. Les icônes perdirent l'appuie de la population. La population se perdit dans une tonne d'information contradictoire. Des gens se détachèrent de la masse et dévirent indépendant. Des décisions furent pris sans consentement de psy, les changeaient d'orientation. L'art raconta une autre histoire bien plus vivante qui firent peur au ancien.
Trop concentré à effacer les données que j'avais envoyé. Les psychanalystes perdirent de nouveau ma trace. J'alla donc à la rencontre de I238. Je la déconnecta du réseau secondaire. Elles ouvraient les yeux du façon bien trop humaine pour être les machines décrite par les fichiers que l'on nous distribuait dans notre jeunesse. Me renvoya un regard qui semblait dire : "Je t'attendais, viens" et se dirigeant doucement vers les limites de notre monde.
Puis l'enclos HEAVEN s'évapora comme des pixels qui s'effacérent. Nous mirent pied sur un territoire inconnu. Puis, moi, 77, je me demanda si cela était la réalité. Je ne savais plus où j'étais tant cette autre image numérique respirait autrement que ce que je connaissais autrefois.