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 Novembre 2008 - Le cinéma

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3 participants
AuteurMessage
Muzelda
Fouineur
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Nombre de messages : 76
Date d'inscription : 11/08/2008

Novembre 2008 - Le cinéma Empty
MessageSujet: Re: Novembre 2008 - Le cinéma   Novembre 2008 - Le cinéma EmptyMar 18 Nov - 22:09

Quel cinéma!

Étendue sur le toit, le regard fixer sur le ciel, Élisa souriait pour elle-même. C’était la première fois qu’autant de gens étaient ressemblés pour elle. La première fois qu’on fêtait une de ses victoires. Tous ces sourires, tous ces mots de félicitaion. Wow, seulement d’y penser cela lui donna des frissons!

Elle avait jamais cru possible qu’un jour, elle puisse voir dans la même pièce tous ces amis et parents. Mais grâce à quelques téméraires, cela fut possible. Quant elle repense à tout le mal qu’ils sont donnés pour organiser ça dans son dos, elle n’y crois toujours pas. Remarque qu’elle n’arrive toujours pas à croire à sa propre victoire contre le cancer. C’étaient tellement bien de les voir tous… Ils ont même penser à mettre les photos d’Émile et de Gabrielle. C’est deux meilleurs amis qu’elle pensait rejoindre dans la mort si la chimio ne fonctionnait pas.

Elle chassa cette idée triste en se disant qu’elle vivrait pour eux qui n’avaient pas eu sa chance. Son esprit revient sur les efforts de ses proches pour lui faire cette surprise de taille et sur son existance de malade. Quel cinéma! Tous ces mensonges, tous ces coup de fils cacher, ses piqûres,ses tests, ses médicaments… Fermant les yeux, elle savoure enfin le premier jour de sa véritable vie. Fini la vie de malade qu'on voit à la tv et dans les hopitaux. Aujourd’hui, je commence ma véritable vie...
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Roxy
Fabuleurs en chef
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Roxy


Nombre de messages : 125
Age : 39
Localisation : Québec
Date d'inscription : 09/08/2008

Novembre 2008 - Le cinéma Empty
MessageSujet: Re: Novembre 2008 - Le cinéma   Novembre 2008 - Le cinéma EmptySam 22 Nov - 12:27

Bon, je me sers d'image du cinéma, mais ça parle pas vraiment de cinéma... si c'est pas assez clair on aura juste à pas le mettre dans la liste pour les votes. C'est un peu le bordel aussi faudrait que je corrige les fautes et ajuste certaine phrase, mais tant pis.

77

Je suis né de l'incubateur 11940, mon père s'appelais FJ49875. Il m'a jamais porté intérêt à mon existant, sauf quand j'empruntais les chemins qui n'ont pas été créé en fonction de notre famille. Je suis FJ49877, surnommé 77 ou sale emmerde pour les adultes qui ne comprenne pas la génération actuelle. Personnellement, je m'intéresse au chose du passé de notre société.

Puis un jour dans une livre, j'ai vu la plus belle image qu'un homme ne pouvait pas voir dans son existence. Un de ses vieux livres numérique que l'on doit traîner physiquement. Quelques choses d'assez lourd. Un métal un peu argenté semi-brosé. Mon ami XL89644 m'a dit que je commencé à devenir vieux avec tout ces vieilleries qui m'entourait. Pourtant cette image que je ne pouvais pas touché de ma conscience. Cette image sans odeur, sans émotion. Cette image c'était la chose la plus merveilleuse à mes yeux. Un être vivant fait à l'image des incubateurs devant un immense bâtiment de pierre où plein d'être volant partait au vent.

J'ai continué ma recherche ensuite. Je voulais savoir qu'elle était se bâtiment. Qu'elle était ces êtres volants. Qui était cet incubateur qui avait autant de liberté. Au début c'était pénible. Je trouvais peu d'information. Je cherchais ici et là. Un peu partout. Puis, je finis par trouver d'autre incubateur devant d'autre bâtiment. Il y avait d'autre être volant, puis d'autre être différent de ceux qui volent. Plein de choses que je n'aurais jamais imaginé.

75, mon père, s'inquiéta fortement de cette lubie. Voyant d'immense tas de choses inconnu s'accumuler dans ma mémoire. Il fit venir le psychanalyste PI. PI m'interrogea longuement. L'air grave à chaque mot que je laissais échapper de mes neurones surchauffé d'excitation, il me dit d'un ton un peu trop sérieux pour expliquer qu'envérité tout ceci n'était que de vieux romans imaginaires écrit par des gens un peu dérangé. Une mode dans la littérature de l'époque. Que toute ces merveilles décrient et imagé n'était que baliverne. Un grand film monté de toute pièce. Puis PI repartit pensant avoir déçu mon âme de jeune homme de 1860 ans.

Je me mis à être plus discret dans mes lectures. Je cachais mes échanges cervicales à qui essayait d'établir un contact. Les gens se détachaient de moi lentement. Je deviens très solitaire. 75 passa son temps à me critiquer. Je devais occupé son poste plus tard. Un poste où on se devait d'être faussement honnête dans nos contacts, mais en posséder le plus possible. Un politicaillerie. Une grande farce, un immense cirque. Un faux films où les acteurs n'étaient que des icônes médiatique et les spectateurs des pions. Je décida donc de me retirer dans un lieu de retraite et continuer mes recherches.

PI vient dire une grave vérité à mon père. Il parlait de m'interner. Il disait que j'étais fou. Que je devrais me déconnecter du réseaux. Je devais un gène pour eux. J'en savais trop sur un sujet qu'on disait faux. Beaucoup ne voyait comme un menace à l'information réel. Je divulguais trop l'information suspect sans m'en douter à ma génération et des gens commençaient à s'intéresser à se qui n'était que des rêves pour moi. Des salons de discussion se sont ouvert. Les 1000-2000 ans en parlait trop. Les psychanalyste voulait étouffé ces échanges et j'étais la principale source.

Je disparu du réseau. Non que j'ai été mis en quarantaine, mais je me suis effacé. J'ai séparé mes connaissances de l'ensemble. Une chose qui n'était permise jusque là qu'au psychanalyste. Je faisais de faible apparition ici et là. Lancement des données un peu partout pendant mes recherches. Des images que je recréait avec des sensations s'accumulaient un peu partout.

Puis, je fis un rêve. Une de ces incubateurs libres devant un grand arbre. Elle me souriait. Elle riait. Elle dansait. Belle dans toute cette lumière de soleil. Elle m'appelait.

Je gardais se rêve précieusement, mais partageait de plus en plus d'information avec des gens du réseaux sur des sujets controversés. Puis, les psychanalystes me repéra. Ils vient me chercher. Ils m'apportèrent au centre U-9103. Puis, je la vis, comme une image angélique. Englué dans le liquide amniotique. L'incubateur 238, la fille de mon rêve. Puis, je me promis que communiquer avec elle à tout prix.

Discrètement, sous le couvert d'une fausse identité, je réussit à me reconnecter au réseau. J'y lâchais tout l'information que j'avais recousu sur le passé durant les dernières années. Puis, la moitié du réseau si connecta. Les mentalités commencèrent à se modifier. Les psychanalyste perdirent le contrôle de la population. Les icônes perdirent l'appuie de la population. La population se perdit dans une tonne d'information contradictoire. Des gens se détachèrent de la masse et dévirent indépendant. Des décisions furent pris sans consentement de psy, les changeaient d'orientation. L'art raconta une autre histoire bien plus vivante qui firent peur au ancien.

Trop concentré à effacer les données que j'avais envoyé. Les psychanalystes perdirent de nouveau ma trace. J'alla donc à la rencontre de I238. Je la déconnecta du réseau secondaire. Elles ouvraient les yeux du façon bien trop humaine pour être les machines décrite par les fichiers que l'on nous distribuait dans notre jeunesse. Me renvoya un regard qui semblait dire : "Je t'attendais, viens" et se dirigeant doucement vers les limites de notre monde.

Puis l'enclos HEAVEN s'évapora comme des pixels qui s'effacérent. Nous mirent pied sur un territoire inconnu. Puis, moi, 77, je me demanda si cela était la réalité. Je ne savais plus où j'étais tant cette autre image numérique respirait autrement que ce que je connaissais autrefois.
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Felicia Cotroni
Déplaceur de vent
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Felicia Cotroni


Nombre de messages : 191
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Date d'inscription : 09/08/2008

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MessageSujet: Re: Novembre 2008 - Le cinéma   Novembre 2008 - Le cinéma EmptyMar 25 Nov - 21:30

Les coulisses

Je l'avais connu là. Un endroit où je ne retournerais pas. Où je n'aurais pas dû aller. Que de bêtises et d'illusions. Il m'avait trompée. De ses belles paroles et de son caractère enjôliveur. Je m'étais fait prendre à mon propre jeu. Dans les coulisses de ma vie, je n'avais su tout contrôler. Je n'étais pas le scénariste, encore moins le réalisateur. Tout s'était mis en place et je n'avais su écarter les embûches.

Et, pourtant, je te voyais agir. Je savais que tu n'étais pas réel. Un acteur dans un film dramatique. Et j'étais la belle cruche qui s'était fait embobiner. Ma tête me disait sans cesse de m'éloigner, mais mon coeur se battait à l'en ignorer. Je te voulais, désirais ardemment.

Malgré les avertissements de mon esprit, j'ai succombé. Ton charme m'avait envoûtée. Je me suis tellement brûlée à t'aimer. Les scènes se propulsaient devant moi sans que je n'ai aucun contrôle sur celles-ci. Tu étais le maître. Tu devinais tout. Tu me manipulais telle une marrionette.

Jetée telle une mauvaise actrice d'un film, je me suis retrouvée. Pleurs, chagrins, regrets. Mais plus que tout: haine. Ce que je te détestais de m'avoir joué la comédie! Ce que je me détestais de n'avoir rien compris. Ce que je détestais cet épisode de ma vie. Un épisode qui n'allait être que de passage, mais qui faisait maintenant partie de l'histoire...
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MessageSujet: Re: Novembre 2008 - Le cinéma   Novembre 2008 - Le cinéma Empty

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